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20 mars 2010 6 20 /03 /mars /2010 18:42
la-lettre-X.jpg



Si je ne veux pas passer pour une laXiste, il est temps de mettre mon nez sous X !  Et à moins de vous faire un laïus sur les larves Xylophages ou la Xénophobie de mon oncle Xylophoniste, je sèche... Moi qui ai pourtant l'habitude de me faire des films, le X devrait me motiver ? Mais n'allez pas vous imaginer que j'en connais un rayon sur le X hein ?!

Je l'avoue, cette lettre me laisse totalement perplixe !

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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 19:18
la-lettre-V.jpg



Vote !

1 - Les Vicissitudes de la Volaille élevée à la Vodka à Vaux-en-Velin
2 - La Virtuosité Virginale des Valeureux Violonistes Vulcains de Volgograd
3 - La Vulvite récidivante chez la Visonne Visqueuse de Vouvray
4 - Les Vespasiennes sont-elles Vectrices de la Vérole chez les Vignerons Vieillissants ?

Comment ça, sont pas intéressantes mes propositions de débats ?! Bon, je m'incline face à la Vox populi et puisqu'il en est ainsi, je mettrai donc en Vedette... mon prénom !

Je ne pense pas être parano mais j'ai remarqué à maintes reprises que dans de nombreux films ou téléfilms, les pimbèches, nunuches, prostiputes et autres pintades légères du bulbe et de la cuisse, portent fréquemment mon cher prénom ! Pourtant, c'est un poète anglais qui est à l'origine de sa propagation... et non pas un ersatz de Marc Dorsel de bas-étage ! Non mais !

Allez hop, un peu de culture pompée sur le net pour réhabiliter les Vanessa à leur juste valeur !

"Vanessa est le dérivé de Venisse, forme normande de
Véronique.
Adopté en Angleterre au XIe siècle, à la suite de l'invasion des armées de Guillaume le Conquérant, Venisse s'écrivit alors Venissa puis Vanessa et ne fit pas une très longue carrière en Grande-Bretagne. Au XVIIIe siècle, il fut remis en lumière par Jonathan Swift (l'auteur des Voyages de Gulliver) qui s'en servit pour désigner, dans un long poème, la femme qui était tombée amoureuse de lui. Vanessa devint un prénom littéraire, connu mais peu attribué. Il dut attendre le début du XXe siècle pour connaître le succès. Depuis cette époque, dans les pays anglophones, il est assez fréquent. Il est apparu en France vers 1970 et y a fait, pendant une dizaine d'années, une belle carrière. Il s'est ensuite démodé mais demeure assez fréquent. "

Alors, on parle de la vérole des vignerons maintenant ?!
  

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9 janvier 2010 6 09 /01 /janvier /2010 10:24

la lettre U


Uhuhuuuuuu !!! (plainte déchirante marquant Un profond désarroi).  Il y de quoi se faire Un Ulcère à plancher sur cette fichUe lettre. Comme toujours, mon article  va virer en situation Ubuesque, écrit dans l'Urgence à force d'être remis à Une date Ultérieure ! Un véritable Uppercut cérébral de trouver matière à vous faire découvrir l'Unicité de mon Univers sans Utiliser plus de 4 pages de dico ! Au risque de passer pour Une Utopiste, ce chef-d'oeuvre pourra peut-être passer pour de l'art Underground ?! Surtout que la moitié de ces pages est composée de termes tels que Urinoir, Utérus, Uretère... Je n'ai plus qu'à me retirer dans un couvent d'Ursulines si je ne veux pas frôler la crise d'Urticaire !

 

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14 novembre 2009 6 14 /11 /novembre /2009 21:58




Salmigondis !

C'est très probablement ce que Sera cette note puisque j'ai eu l'idée Saugrenue de faire appel à mes amis facebookiens pour les faire participer à l'exercice. Je leur ai donc promis d'intégrer TOUS les mots commençant par la lettre S qu'ils me proposeraient... et bien entendu, ils Se Sont lâchés les bougres ! Sacrée Saucisse que je Suis !

Avertissement : Je déconseille vivement aux personnes ayant un Seveu sur la langue de lire ce billet à haute voix.

C'est parti, et ce ne Sera pas une Sinécure !

En ce Samedi de Solstice, StanislaS (tu l'as cherché, tu as été le plus méchant Salopard !) S'éveilla agité de Soubresauts et aussi Suintant qu'une Sardine Surexcitée, de Sombres Songes ayant Saboté Son Sommeil. "Saperlipopette !" S'écria-t-il en Se remémorant Ses Souvenirs nocturnes : Une histoire de Succubes Siamoises Sourdingues nommées Sophie et Stéphanie (ça vous apprendra aussi !), en lutte avec une Sorcière Saphique Sans-domicile-fixe adepte des Sorts Sataniques et Spécialiste des Sortilèges Splanchniques, en plein rituel Sabbathien.
- Sacré nom de dieu ! S'exclame Sophie.
- Sacrilège ! Surrenchérit Stéphanie. Tu ne peux pas mélanger la Saxiphrage avec la Sphaigne pour ta Sangria Satanique !
- Vos Sempiternels Salamalecs me Saoulent, c'est pas le Sexe votre Sacerdoce bande de Sangsues ?! Allez vous faire voir à Saint-Etienne, ou même à Sarajevo ! Moi qui Suis Soulagée d'avoir quitté ma Sororité pour ne plus Subir leurs Sermonts Soporifiques, je ne Souhaite plus voir vos Silhouettes de Salopes dans le Secteur !

Un Séraphin Sophiste mit fin à son Supplice en Séduisant les deux Sylphides, Scrogneugneu !

Stanislas S'extirpe de Son lit, Se douche, Fait tomber Six fois Sa Savonnette. Il hésite entre un Slip et un String, enfile un Sweat puis une Salopette. Il S'attable pour Se Sustanter d'un Solide petit-déjeuner Sucré-Salé : Soupe, Salami, Sot-l'y-laisse, Sabayon, Saucisson, Saumon, Salade de Salsifis Sauce à la Sauge, le tout arrosé de St-Emilion allongé de Scotch et d'un Soupçon de Saké. Il S'abrutit devant la télé en zappant entre les Schtroumpfs et Sissi impératrice.
Soudain, la Sonnerie retentit.
- Sapristi, quelle Surprise ! Qui vient rompre ma Solitude ? Quel Suspens !
-T'es Sourd Stan ? S'égosille une voix Stridente.
- Donne-moi le Sésame Sinon je n'ouvre pas !
- Sacré Salaud ! euh : Supercalifragilistisquépihélidolcious ? Six-cent Scies Scient Six-cent-Six cigares ?
- Soit ! J'ouvre.
- Seigneur ! Tu ressembles à un Squelette Sorti d'un Sarcophage ! On dirait un Sosie de Sarkozy !  Un Souci de Santé ? Tu as consulté un Stomatologue ? A moins que ce Soit le Sigmoïde ? Ou juste une dure Soirée Susurre-t-elle avec un grand Sourire.

Sonia, la Super amie Sage-femme Spitante  est passée le chercher pour l'accompagner Sans faute à Son cours de Solfège dans Sa Six-cent-Sept fraichement Sortie des ateliers du Sud de Sochaux.
- Souris donc un peu ! Tu veux que je te fasse un peu de Shiatsu ?
- A la Saint Glinglin ! Sauvons-nous Si on ne veut pas faire un Slalom dans les embouteilages telle une Salamandre tout ça pour que j'aille jouer les Saltimbanques ! Je passe juste aux WC avant.
- Sacrebleu non ! Tu te Soulageras contre un Stipe en route, c'est la Seule Solution !


Ouf ! Mission accomplie ! Vos 108 mots Sont casés (Sauf Sphère qui n'a rien inspiré à mes hémi...Sphères !). Il n'en manque plus que deux qui vont me permettre de boucler cet article d'une richesse intellectuelle Sans précédent en vous souhaitant Shalom et Salam, bande de fous !!

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12 septembre 2009 6 12 /09 /septembre /2009 16:10




En période de rentrée, il est toujours de bon usage de balancer QuelQues coups de pieds au Q pour se remotiver ! Je vais donc tâcher de respecter cette coutume ancestrale, voire sé Q laire. Et puis comme me l'a TRES subtilement (poétiQuement devrais-je dire) suggéré mon ami Stanislas, maintenant Que le P est sorti, le Q se fait désirer !

Vais-je cependant parvenir à livrer une histoire de Q de Qualité sans provoQuer de QuiproQuos ni passer pour une Quiche et ignorer en toute Quiétude le Qu'en-dira-t-on ?

Je n'étais pas pressée de tomber sur le Q, non pas Que le Q lasse, mais tout simplement Qu'il s'agit d'une lettre peu fréQuente, un Q rare en somme. Mais, c'est la loi de l'abécédaire, aujourd'hui donc, le Q est chemise euh...de mise ! Je vous promets de faire une effort pour alimenter ce billet, pas Question de rester sur un Q sec. QuoiQue... Quitte à devoir encaisser les quolibets et passer pour une faux-Q, il me faut bien l'admettre, le Q me laisse...sur le cul !

Vivement la prochaine étape Que je prouve Que je ne manQue pas d'R !

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14 juillet 2009 2 14 /07 /juillet /2009 12:03



...Parachute !

La semaine dernière, une pulsion venue d'on ne sait où m'a entrainée dans un vieux coucou, harnachée telle une tortue qui aurait emprunté la carapace de son grand-oncle bodybuildé, pour un saut en parachute, toute seule comme une grande !
Quelques jours à peine après avoir testé la Montgolfière, j'ai poussé la dose d'adrénaline un peu plus loin. Voici en image, le chemin parcouru par une apprentie parachutiste.

La préparation :




















Et en l'air, ça donne ça :


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11 mai 2009 1 11 /05 /mai /2009 22:16


 J'aime beaucoup la lettre O, le dictionnaire est bourré de mots que l'on peut détourner avec plaisir !

Occiput = péripatéticienne assassinée !
Obus = Suis bourré (en ch'ti !)
Océan = Quel postérieur !
Ocelot = Woah quelle pépée !
Oecuménique = Il me sodomise !
Omnipotente = Obèse de pied en cap !
Omoplate = Lesbienne sans poitrine !
Onanisme = Mouvement en faveur des personnes de petite taille !
Opportunité...alors j'suis allé à la gare !
Opercule = Grouille-toi de terminer tes travaux gros tas de muscles !
Opérette = Fais péter la crème !
Opprobre...comme au figuré !
Oraison = Tu as tort !
Oratorien = Le film est nul, on peut se barrer !
Orbital = Chastement !
Ossature = On en a ras le caisson !
Ostracisme = Haine des huîtres !
Ouille = Esticule !
Ouailles = Because !
Ozone = Quel endroit peu rassurant !

Oui, je sais... Il est tard, je vais me coucher...pardon !
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26 avril 2009 7 26 /04 /avril /2009 16:05


... mutisme !








Non, je n'ai même pas honte ... ou juste un peu alors !
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7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 17:56



Voilà, j'ai TOUT fait pour gagner le dernier roman d'Agnès Abécassis, TOOOOOUUUUT ! Le concours organisé par son éditeur, celui de Cosmopolitan, et pour finir, j'ai même tenté ma chance en rédigeant une courte nouvelle pour le concours concocté par le site Plume libre. (Il s'agissait d'écrire une page maxi en commençant par : elle fixa le miroir de la salle de bain. Soudain...)
Rien ! Chou blanc ! Que couic ! Pfffff...
Pour la peine, je publie donc ma lamentable prose ici...

 

RID(HIC)ULE !


Elle fixa le miroir de la salle de bain.

Soudain, elle aperçut une fissure suspecte en plein milieu de la glace ! Elle s'approcha pour examiner les dégâts mais, constata que la fissure était mobile et, comble du comble, qu'elle prenait du volume à mesure qu'elle s'en approchait.

- Morne couille ! Une ride ! s'exclama-t-elle, stupéfaite.

Elle plaqua son visage tout contre le miroir pour constater qu'en approfondissant l'expertise, la garce de ride n'était pas la seule à strier ce visage hier encore ultra lisse !

- Aaaaaah ! Les cousines sont aussi de la partie ! Regarde-moi ces pattes d'oies, on dirait des fourches à fumier !

Au faîte de ce drame, elle fut arrachée à son tourment par le timbre rauque du mâle aimé.

- T'as pas vu mon écharpe ? J'suis à la bourre !
- Je me fiche de ton écharpe, je suis un shar-peï ! Et si je la trouve, je me pends avec en l'attachant à la barre de douche !
- Tu ne risques rien, je l'ai fixée trop souple ! Et puis j'adore les chiens ! Tant pis pour mes amygdales, je file, à ce soir ! Et ne bave pas partout hein, wouaf !

Le mufle l'abandonna à son désarroi. En tête à tête avec ses sillons fraichement creusés, elle se mit à déprimer sec ! Elle regretta soudain d'avoir négligé de se tartiner de crèmes anti-rides, de potions anti-bide, de masques hydratants, de baumes ultra-chiants... Elle n'a jamais été friande de tous ces produits, probablement trop confiante en son capital de base, trop feignasse pour s'occuper de son propre corps. Et voilà que son insouciance est en train de lui labourer le visage avec une ardeur exagérément zélée. «Ô sénescence toute puissante, pourquoi as-tu décidé de jeter ton dévolu sur moi qui ne suis pas psychologiquement préparée ?!», pensa-t-elle. «Il y a des tas de vieilles peaux à tanner, pourquoi la mienne ?».

Consciente que son jour de repos démarrait sous les plus mauvais auspices, elle décida de se reprendre et quitta cette maudite salle de bain. Elle brancha la chaine stéréo sur sa station de radio préférée. Celle-ci jouait un morceau du groupe Alan Parsons Project. Elle n'eut que le temps d'écouter le refrain, «I can «ride» your mind», avant d'éteindre l'appareil d'un doigt rageur. Elle se rabattit alors sur le premier CD qu'elle trouva : Lou «Ride» !

- Grrrrrr ! Je n'ai plus qu'à me farcir un bon DVD !

Elle arrêta son choix sur «Thelma et Louise». Le faciès fripé de Susan Sarandon lui redonnerait le sourire ! Mais elle abandonna très vite son idée en se remémorant le nom du réalisateur : «Ride Laid» Scott !

- Marre marre marre ! Fulmina-t-elle ! Où est cette saleté d'écharpe que j'aille me pendre ?

Après quelques minutes de recherches laborieuses, elle trouva enfin le cache-nez, dans les toilettes (les hommes ont décidément une logique qui nous échappera toujours !), négligemment jeté sur une pile de magazines. Elle saisit l'écharpe d'un geste si brusque que toutes les revues s'écroulèrent. Son regard s'arrêta soudain sur une couverture au titre évocateur : «40 ans : vous n'avez jamais été aussi belle !». Elle se laissa choir mollement sur la lunette des WC pour éplucher ce numéro de Marie-Eulalie jusqu'à ce qu'elle parvienne au dossier du mois : Le bonheur d'être quadra. Commença alors une longue remontée au beau fixe d'un moral enseveli au tréfonds de ses chaussettes, à grands coups de «vous êtes enfin au summum de votre féminité, la maternité a embelli vos courbes, vos ridules vous donnent de la personnalité, l'expérience vous a appris mettre en valeur vos atouts, les hommes de n'importe quelle tranche d'âge vous convoitent, vous êtes de vraies bombes à l'image des Marceau et autres Bellucci...».


Elle dévora tous les articles avec un sourire béat. Elle sortit, chancelante, les jambes envahies de fourmis, mais absolument radieuse, «j'ai 42 ans, mes ridules me donnent de la personnalité, je suis belle et désirable !». Elle roula l'écharpe du mâle aimé en boule et la jeta sans aucun état d'âme à la poubelle !

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6 janvier 2009 2 06 /01 /janvier /2009 21:41


H...comme Histoires.

Je vous l'accorde, sur la lettre G, je ne me suis pas fendue, je vous livre donc ce récit où je "H" mes mots !

Hubert Sécuté, le Hibou Hypocondriaque, Hululait à perdre Haleine dans son Home Helvète. Un Hêtre d'une Hauteur Hallucinante. Homer Dalors, le Hérisson Hédoniste Harangua :
"Hé ! Cesse donc ce Hourvari pauvre Hère Hystérique ! Tu m'empêcHes d'Hiberner Harmonieusement !"
L'Habile Hâbleur n'avait point pour Habitude d'être Hargneux mais il Haussa encore le ton :
"Hululer c'est Has-been, mets-toi au Hip Hop !"
"Hiberne donc à Hawaï" Hoqueta le Hibou Horripilé. Je souffre d'une Hernie Hiatale, peut-être même d'une Hépatite, je Hurle au secours et toi, tu prends ça pour de l'Hérésie !"
Hilare, le Hérisson reprit les Hostilités Houleusement :
"Holà, ta place est à l'Hospice, tu es Hors-service ton Heure a sonné !"
Ils se Huèrent ainsi, longuement :
"Hurluberlu, Huron, sans Hulotte, Huître Hyposodée, Horrible Hippy Huppé, Haïssable Hooligan, Hémorroïde HypertropHiée !!!"
Tout Haletants à force de se Houspiller et de se Harceler, les deux Hanimaux (comment ça je tricHe ?!) ne prêtèrent pas attention à l'Horrible Hyène tapie dans l'Horizon Herbeux et le Houx. Elle se Hâta de Happer Hardiment les deux Héros Hébétés sans même un Haut le coeur !

Honteusement, ils convinrent à titre postHume :
"De piètres représentants nous fûmes du H !"
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A Propos De L'auteur

  • : Le blog de Vanessa Mattin
  • : Mes romans, mes contes, mes humeurs, mes chansons...
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A paraître

Février 2010 : sortie de "La vraie nature du petit Paul Hueur" aux éditions Laura Mare. Petit conte écorigolo à mettre entre toutes les petites menottes !

 


Nain n°1 jette les piles de sa DS dans le composteur ? Capital retraite n°2 se lave les crocs sans couper l'eau ? Héritier n°3 se mélange les poubelles ? Il est grand temps de leur offrir "La vraie nature du petit Paul Hueur" !

Recherche

 

 

Télé-vénalité



Comment vous procurer mon dernier roman pensez-vous ? Si si je le sens bien ! Eh bien par simple commande dans toutes les fnac ou par chapitre.com ou tout simplement par un petit e-mail à l'auteur, euuuuh, l'auteur c'est moi !!


Pour me contacter.

 

Avec le temps...



Mon premier roman paru en 2005 aux éditions Paulo-Ramand. Comment encaisser sa trentième année avec le sourire malgré une journée anniversaire cauchemardesque.
A part une occasion sur amazon ou fnac.com, voire Vinted, vous n'aurez malheureusement que peu de chances de le trouver.

Recueil de nouvelles



En 2007, paraissait ce recueil de 8 "copains des livres" aux éditions Edilivres au profit de l'AFM (Association Française contre les Myopathies). J'y ai modestement participé avec ces sept très belles personnes rencontrées sur le web ces dernières années (Marie-Paule Asselain, Chantal Bauwens, Marie-Laure Bigand, Jacques Devaux, Liza Lo Bartolo-Bardin, Yannick Piel et Francine Ruellan).